The Struck-and-lost Factor in Alaskan Walrus Harvests, 1952-1972

Auteurs-es

  • Francis H. Fay
  • John J. Burns
  • Samuel W. Stoker
  • J. Scott Grundy

DOI :

https://doi.org/10.14430/arctic1310

Mots-clés :

Animal mortality, Animal population, Hunting, Walruses, Bering Sea, Chukchi Sea, St. Lawrence Island waters, Alaska

Résumé

Le taux d'animaux frappés et perdus au cours de la chasse au morse, Odobenus rosmarus (Linnaeus) en Alaska de 1952 à 1972 n'a pas varié d'une année à l'autre. En moyenne, 42 p. cent des animaux frappés par les balles ont été perdus (c.-à-d. non récupérés). Environ 55 p. cent des animaux frappés et perdus sont morts sur le coup et 45 p. cent ont été blessés. Il semble que la plupart de ces derniers soient morts peu de temps après avoir été frappés. La composition selon le sexe et l'âge des animaux frappés et perdus était environ la même que celle des prises, et la proportion des animaux perdus ne variait pas avec la taille du groupe chassé. On peut remettre en question les affirmations des dernières années concernant une réduction du taux de perte causée par l'amélioration de la puissance de feu. Durant les 21 années de l'étude, les armes ont subi de grosses améliorations, mais celles-ci ont tout simplement fait augmenter la proportion des bêtes tuées sur le coup, parmi les animaux qui avaient été frappés et perdus. Les améliorations apportées aux armes n'ont pas réduit la proportion des animaux perdus parmi ceux qui avaient été frappés.

Mots clés: morse, Odobenus rosmarus, Alaska, prises, frappés et perdus

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Publié-e

1994-01-01